L’histoire d’amour de Robert BP et Lady Olave

Nous te disons tout de la relation entre Lord Robert et Lady Olave Baden-Powell. LaToileScoute, le Voici scout

Plus sérieusement, Scouts.es, site officiel des scouts espagnols, a fait un article qui raconte leur relation, nous te le traduisons.

Trente deux ans de différence séparaient le fondateur du mouvement d’avec Lady Olave. Ils se connurent sur un bateau et la famille de l’anglaise s’opposa vivement à cette relation.

Tandis que Robert Baden-Powell jouait enfant au football, Olave Claire Soames, nom de jeune fille de Lady Olave, se consacrait à l’équitation et au violon.

C’était une femme active qui avait toujours été en contact avec la nature et était mordue de voyages à travers l’Europe (et plus tard à travers le monde). Avant ses 17 ans, elle connaissait déjà une bonne partie de la Grande-Bretagne et de la France.

Il fut inévitable qu’en 1912, elle rencontra sur un bateau nommé « Arcadie » un explorateur, général de l’armée Britannique et créateur du plus grand mouvement de jeunesse au monde, Robert Baden-Powell.

La différence d’âge a été un sujet sensible pour Katherine, la mère de Lady Olave. Elle avait 23 ans, il avait 55 ans [NDLR]. Jamais l’épouse du héros du siège de Mafeking ne put porter à l’intérieur de la maison familiale des Soames l’uniforme scout (guide), pas plus qu’elle ne put parler de Robert.

Avec les années, l’éloignement de la mère et de sa fille fut inévitable.

Ce fut une histoire telles que les racontent les séries télévisées dramatiques.

Plus tard, les voyages suivront afin de diffuser le scoutisme et le guidisme à travers le monde. Ensemble ils connurent les cinq continents. Lady Olave accompagna le fondateur jusqu’en Afrique, aux pieds du Mont Kenya, jusqu’à ce que le fondateur mourût, le 8 janvier 1941.

Mais la chose la plus excitante reste à venir.

Comme la lettre d’adieu qu’il écrivit aux scouts du monde entier, amis et proches, Baden Powell écrivit une lettre pleine d’amour à sa Olave. (Ou Dindo, comme le disait BP) :

« Ce qu’il y a de plus important au monde, c’est Toi, mon amour,

De devoir te quitter est la douleur qui me hante le plus (…).

Une chose me rassure. Tu es si raisonnable que tu prendras cet évènement à sa juste mesure, comme une chose naturelle qui doit arriver, et tu t’attelleras à la tâche avec courage, pendant la durée qu’il faudra jusqu’à ce que le temps soigne la plaie ».

Portfolio

PS

Lien vers l’article original : http://scouts.es/la-historia-de-amor-de-bp-y-lady-olave/

Publié le (mis à jour le )