au niveau bateau et sécurité le texte n’est pas complet :
A la fin des années 50 Les scout marin utilisaient en général des canots sauvetage réformé de la marine national. La dangerosité de ces canots a été dénoncé bien avant les accidents qui étaient prévisible par de vrais marins. Notamment par Jean Benquet, chef de groupe marin et Il a commencé à dénoncer le danger des Canots avec vigueur dès la fin des années 50. Pour cause :
Engagé 44 dans la marine, il a pas mal utilisé ces canots et en a vu se retourner et couler à pic. Il en connaissait donc bien les danger.
Féru de Régate, il connaissait bien la mer et les bateaux, était au fait des nouvelles technologies et de la sécurité en mer
Ayant été Scout, Scout de haute mer, chef scout (créateur de la 46° Raider en 49) et enfin Chef de groupe Scout Marin il connaissait bien le scoutisme sur toutes ses formes.
Il avait donc toutes les cartes en mains pour voir le grave danger que couraient les jeunes.
Il c’est démené de nombreuses année auprès des scout de France, appuyé entre autres par le père Mesnard, pour dénoncer ce danger mortel, allant jusqu’à faire le cahier des charges d’un bateau adapté au scoutisme, puis le faire dessiner et réaliser par un des ses amis, l’architecte naval Jean-Jacques Herbulot (concepteur entre autres du corsaire qui avait déjà fait ces preuve depuis 1952 aux Glénan). Malheureusement il n’a pas été écouté par le national et même snobé, ils ont aussi boudé ce bateau du coup peux de troupes s’en sont équipé… par contre il a été immédiatement adopté par de nombreuses écoles de voiles dont les Glénan. ce bateau, le Kotick, était donc déjà largement fabriqué en 1963, bien avant les accidents et a été fabriqué à plusieurs milliers d’exemplaires.
Jean las de se battre et devant cette attitude à claqué la porte du mouvement en 1964. Mais a continuer a soccuper d’association de jeunes et fait dessiner le Carrick dérivé du Kotick.
L’histoire lui a malheureusement donné raison, il aurait préféré avoir tord.
Le plus malheureux c’est de penser que les 5 morts du drame de Damgam en 1965 n’ont pas suffit à faire vraiment bouger le national, il a encore fallut un mort à Hourtin en 1966…
Tous sont mort à la suite du retournement de leur canots. Ce risque les scouts de France en étaient parfaitement avertis de longue date.
Le Kotick était un bateau de 6m20 pas trop cher car petit et simple mais moderne (pour l’époque) gréé en Ketch pour occuper un maximum de jeunes. Muni d’une bonne réserve de flottabilité il tenait très bien la mer. un supper Kotick en a été dérivé.
Le Carrick aussi dessiné par Herbulot reprenait le même principe mais était en plus équipé de cabines et de 6 vraies couchettes permettant de se passer d’un campement à terre ou d’une base et lui donnant plus d’autonomie. Nettement plus cher à fabriquer et très concurencé, il n’a pas eu de succès et n’a été fabriqué à qu’en petites quantités.
au niveau bateau et sécurité le texte n’est pas complet :
A la fin des années 50 Les scout marin utilisaient en général des canots sauvetage réformé de la marine national. La dangerosité de ces canots a été dénoncé bien avant les accidents qui étaient prévisible par de vrais marins. Notamment par Jean Benquet, chef de groupe marin et Il a commencé à dénoncer le danger des Canots avec vigueur dès la fin des années 50. Pour cause :
Engagé 44 dans la marine, il a pas mal utilisé ces canots et en a vu se retourner et couler à pic. Il en connaissait donc bien les danger.
Féru de Régate, il connaissait bien la mer et les bateaux, était au fait des nouvelles technologies et de la sécurité en mer
Ayant été Scout, Scout de haute mer, chef scout (créateur de la 46° Raider en 49) et enfin Chef de groupe Scout Marin il connaissait bien le scoutisme sur toutes ses formes.
Il avait donc toutes les cartes en mains pour voir le grave danger que couraient les jeunes.
Il c’est démené de nombreuses année auprès des scout de France, appuyé entre autres par le père Mesnard, pour dénoncer ce danger mortel, allant jusqu’à faire le cahier des charges d’un bateau adapté au scoutisme, puis le faire dessiner et réaliser par un des ses amis, l’architecte naval Jean-Jacques Herbulot (concepteur entre autres du corsaire qui avait déjà fait ces preuve depuis 1952 aux Glénan). Malheureusement il n’a pas été écouté par le national et même snobé, ils ont aussi boudé ce bateau du coup peux de troupes s’en sont équipé… par contre il a été immédiatement adopté par de nombreuses écoles de voiles dont les Glénan. ce bateau, le Kotick, était donc déjà largement fabriqué en 1963, bien avant les accidents et a été fabriqué à plusieurs milliers d’exemplaires.
Jean las de se battre et devant cette attitude à claqué la porte du mouvement en 1964. Mais a continuer a soccuper d’association de jeunes et fait dessiner le Carrick dérivé du Kotick.
L’histoire lui a malheureusement donné raison, il aurait préféré avoir tord.
Le plus malheureux c’est de penser que les 5 morts du drame de Damgam en 1965 n’ont pas suffit à faire vraiment bouger le national, il a encore fallut un mort à Hourtin en 1966…
Tous sont mort à la suite du retournement de leur canots. Ce risque les scouts de France en étaient parfaitement avertis de longue date.
Le Kotick était un bateau de 6m20 pas trop cher car petit et simple mais moderne (pour l’époque) gréé en Ketch pour occuper un maximum de jeunes. Muni d’une bonne réserve de flottabilité il tenait très bien la mer. un supper Kotick en a été dérivé.
Le Carrick aussi dessiné par Herbulot reprenait le même principe mais était en plus équipé de cabines et de 6 vraies couchettes permettant de se passer d’un campement à terre ou d’une base et lui donnant plus d’autonomie. Nettement plus cher à fabriquer et très concurencé, il n’a pas eu de succès et n’a été fabriqué à qu’en petites quantités.