J’ai été musarder dans ce charmant pays que j’aurais aimé encore un peu plus « perdu », il y a déjà pas mal d’années, y chercher quelques traces des Ayacks qui avaient enchanté ma jeunesse, après celle de mon père. J’avais soigneusement étudié ma carte Michelin et fait rapidement le rapprochement entre Malans et Malaïac, et avais également repéré nombre de lieux dont les noms avaient été à peine modifiés, ou même pas du tout, par Jean-Louis Foncine : le château de Balançon (Valançon dans le roman), Ougney, Broye, et puis bien sûr la grande forêt de Chaux. D’autres lieux sont restés mystérieux, le vieux moulin, la préfecture de Berrul (à moins que ce ne soit tout simplement Besançon ) Je n’ai pas pu beaucoup m’y attarder mais, en parcourant des yeux ces paysages, j’ai bien dû, à un moment, me laisser aller à penser que « c’est donc là que çà s’est passé... » C’est bon de réveiller de temps à autre l’enfant qui sommeille en chacun de nous. Amitiés à tous les rêveurs (et rêveuses)
J’ai été musarder dans ce charmant pays que j’aurais aimé encore un peu plus « perdu », il y a déjà pas mal d’années, y chercher quelques traces des Ayacks qui avaient enchanté ma jeunesse, après celle de mon père. J’avais soigneusement étudié ma carte Michelin et fait rapidement le rapprochement entre Malans et Malaïac, et avais également repéré nombre de lieux dont les noms avaient été à peine modifiés, ou même pas du tout, par Jean-Louis Foncine : le château de Balançon (Valançon dans le roman), Ougney, Broye, et puis bien sûr la grande forêt de Chaux. D’autres lieux sont restés mystérieux, le vieux moulin, la préfecture de Berrul (à moins que ce ne soit tout simplement Besançon ) Je n’ai pas pu beaucoup m’y attarder mais, en parcourant des yeux ces paysages, j’ai bien dû, à un moment, me laisser aller à penser que « c’est donc là que çà s’est passé... » C’est bon de réveiller de temps à autre l’enfant qui sommeille en chacun de nous. Amitiés à tous les rêveurs (et rêveuses)