Sur la Route du Thé

Imaginaire Samouraï, ou les quatre équipes partent à la recherche des quatre thés.

Un camp qui commençait par le mariage du directeur de camp et d’une des cheftaines, si ! si !

Il y a bien longtemps, le Japon était un pays si lointain de nous que seuls quelques rares voyageurs? occidentaux en connaissaient l’existence.

Bien que plus petit, ce pays était depuis toujours rival de la Chine. Pourtant le Japon était sans cesse en proie aux guerres entre les clans. Jamais le Japon n’avait réussi à s’unir. Pourtant, aujourd’hui, pour la première fois, le Japon allait parvenir à s’unir. Les quatre clans des Shogun, s’étaient rapprochés au travers des siècles, et un nouvel empire allait naître. Par un mariage, les quatre clans allaient être réunis, et un couple impérial allait permettre la création d’un véritable empire.

Pour veiller aux festivités et assurer la sécurité de l’empire, le nouvel empereur avait obtenu des quatre Shogun l’envoi des meilleurs samouraïs des quatre îles. Chaque clan, sélectionna les meilleur Rônin, les samouraïs sans maître pour constituer la garde personnelle de l’empereur, gardienne de l’empire.

À l’occasion du mariage, les Rônin se réunissent pour la première fois au temple impérial. Issus de chacune des quatre îles du Japon, ils sont les samouraïs de : Hokkaido- (oui, il va falloir se mettre à ce genre de noms :p)

Honshu-

Shikoku

Kyu-shu-

[mode HS /on]

parenthèse pratique

comme d’hab, à chaque équipe une couleur un symbole. Les couleurs, noir, vert, rouge, blanc (les couleurs du thé) comme symboles à prendre, le mont fuji le héron/la grue le katana la vague le bonzaï le panda la porte du sanctuaire le cerisier ou sa fleur

Il faudra choisir les, nos armes, simple drapeau japonais ou autre. Le drapeau est plus simple.

[mode hs/ off]

Le couple impérial part en voyage de noces. Les 20 samouraïs ont pour tâche de tenir l’empire jusque là et de préparer le palais. (installs) durant cette période, ils accueillent Kojiro, le célèbre samouraï qui leur enseigne à faucher au sabre des hirondelles en plein vol (une thèque quoi, prévoir un bokken en guise de batte) alors que les samouraïs préparent le palais à accueillir le couple impérial de son retour de voyage de noces, un message urgent arrive au dôjo ( la maison des samouraïs, le coin veillé quoi). Le couple doit abréger son voyage, l’empereur est gravement malade, un sort lui a été jeté (par un des chefs qu’on aura recruté d’ici là).

Les samouraïs doivent aller à la rencontre de leur maître pour l’escorter jusqu’au palais.

Alors qu’ils arrivent à sa rencontre, celui-ci a été kidnappé, seule reste l’impératrice. Il faut sauver l’empereur de ses ravisseurs. Boum ! Grand jeu. Une fois l’empereur sauvé, on se rend compte qu’un étrange mal le ronge, (prévoir des tâches noires ou des boutons rouges). Un sorcier hostile à la paix dans le pays (parce que quand tout le monde se tape, tout le monde lui demande de l’aide pour faire le mal) a volé la santé de l’empereur et l’a cachée et divisée dans des pièces de monnaie qu’il a caché pour sauver l’empire une première fois. Les samouraï doivent retrouver chaque pièce, ainsi que le sorcier pour le forcer à annuler son sort. [ je dispose de pas mal de monnaies chinoises et japonaises, il suffit de décider combien on en cherche] ainsi se clôt le cycle du fer (ou du nickel, ça dépend quel type de pièce on prend).

Pendant dix années, le Japon connait la prospérité, pendant dix années, la renommée des samouraïs grandit et dépasse les frontières. Pendant dix années rien ne se passe sinon le temps.

Un matin pourtant commence le cycle du thé,

alors que l’empereur arrive à la cérémonie du thé, on ne lui sert qu’une vulgaire eau chaude.

« et bien où est mon earl grey du matin ? »

« pardonnez l’humble chacal puant que je suis votre sérénissime altesse impériale , mais nous n’avons plus de thé noir »

« et mon thé vert tchaé »

« non plus, altesse sérénissime »

« bordel, mais je vais tout de même pas devoir me mettre au café. Qu’on me convoque mes samouraïs ».

Ainsi débuta la campagne du thé. Partout au japon, les thés noirs, verts, blancs ou rouges avaient disparu. Sans leur très british boisson nationale, les japonais ne pouvaient plus vivre zen. Partout grondait la révolte. L’empereur renvoya donc ses samouraïs dans leur contrées d’origines pour enquêter et lui retrouver son thé du matin et boum, une explo. À l’issue de l’exploration, chaque scout aura retrouvé un sachet de thé (un de chaque couleur pour chaque couleur d’équipe bien sûr, à nous d’en donner aux proprios chez qui on les envoie. Une fois l’empereur réapprovisionné, il faut remettre en place le commerce, découvrir comment il a été démoli et pourquoi, afin de remettre de l’ordre dans les théières de l’empire. Tout ça en se battant contre une mafia de samouraïs à la solde des satellites chinois (sisi déjà à l’époque), qui ont voulu faire se soulever le pays, pour pouvoir combler leur balance commerciale. Bref, on a sabré tout le monde, tout le monde est heureux. Fin de l’ère du thé.

Re un bout de temps après où les samouraïs on regardé le pays tout joli pendant dix ans ou moins ou plus, y a plus de tunes dans les caisses du royaume.

C’est le cycle de l’or. L’empereur s’est acheté trop de rolex, et l’intendant bolloré annonce qu’il n’y a plus de tunes, que les impôts ont déjà étés levés, mais qu’ils ont disparu en chemin ;

haha, c’est encore l’empereur d’à coté, de chez les chinois, qui a subtilisé l’argent de l’impôt pour mettre le pays en faillite, car il veut conquérir le japon et y installer des manufactures de feu d’artifice par centaines (qu’il est maléfique). Heureusement ses ninjas ont été repérés et les samouraïs se lancent à leur poursuite pour récupérer l’or de l’empire.

Après cela, l’empereur pour remercier ses samouraïs, leur donne à chacun un fief et fait d’eux des *Daimyo*. C’est la fête.

Voilà

après ceci, les personnages à croiser, rencontrer dans le rôle de l’impératrice, son altesse sérénissime Sibylle dans le rôle de l’empereur, son altesse aussi sérénissime Grégoire

A coté de ça, on aura besoin de samouraïs en pagaille (j’ai cité kojiro, j’aimerais bien être aussi un samouraï de l’empire, du nom de musashi, le d’artagnan local) un ou deux shogun, de moines zen, avec des bonnets de piscines peints couleur chair sur la tête des ninjas, un ou deux sorciers maléfiques, un empereur de Chine à taper et plus car imagination débordante

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