Florent, adjoint au stand info

Le rôle du stand info est, en gros, d’informer tout le monde, sur tout. Voilà voilà, vaste programme, non ? Que ce soit les sections qui viennent se renseigner sur les animations en cours, les parents qui cherchent la section de leur enfants, les passants qui se demandent ce que c’est que ce bazar dans le parc... Ils ont réponse à tout !

Présente en 2 points du site pour plus d’efficaité (en haut, le point d’info haut qui coordonne tout, et en bas, le point d’info... bas qui fait le relais), l’équipe dispatche également les équipes pour les services de montage (le vendredi soir) et de démontage (le dimanche). Pendant la course, c’est vers eux que se font les éventuels changements de puce (vélo cassé, nouveau cadre...)

L’équipe est également en charge avant le lancement de la course de s’assurer que toutes les tentes sont bien installées, et qu’elles sont bien visibles (ce qui permet de retrouver les sections quand on les cherche...)

Enfin, c’est cette équipe qui fait toutes les annonces micro (à l’exception de l’annonce des classements, cet honneur étant laissé à l’équipe piste !)

Là, tu te dis qu’ils doivent être une armée pour faire tout ça. Hé bien ils ne sont que 7 en permanence (4 à être là tout le week-end et 15 à passer quelques heures). Autant dire qu’il ne faut pas chômer et qu’il faut avoir la tchatche, selon Florent, qui est l’adjoint d’Alexandra, elle-même étant la responsable depuis plusieurs années du stand info.

"Les passerelles sont un lieu de passage et non de stationnement"

Cette phrase, répétée à plusieurs reprise dans le micro pendant l’événement, est devenu un même sur les 24 heures. Composant mythique du rassemblement, elle est même réclamée par les sections, certains allant jusqu’à faire exprès de rester au milieu du passage sur les passerelles pour entendre la fameuse phrase ! Son origine remonterait à la Chaussée Romaine, qui est elle-même l’ancêtre du Carrefour des Attelage, qui rassemble d’anciens membres de l’organisation. Son but est évidemment un message de sécurité (le passage n’étant pas large et les passerelles de "simples" échafaudages), mais à force de résonner dans les hauts parleurs, cette phrase a marqué les générations de cyclo-scouts...

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